J'ai lu mon premier roman de Modiano en septembre 2002.
Je n'en ai plus
lu d'autre avant qu'il ne soit lauréat du prix Nobel le mois
dernier. Notre ministre de la Culture actuelle, elle, n'en a jamais lu un,
a-t-elle confessé sur un plateau télé.
Pour ma part, j'ai commencé
la lecture de mon troisième ouvrage de l'écrivain nobélisé, emprunté hier à la médiathèque
de l'Institut français d'Istanbul, Dora Bruder.
Depuis sa mise en rayon, ce livre, si j'en juge par le nombre de dates de retour tamponnées sur la petite fiche A retourner, collée à la fin de l'ouvrage, a été au moins lu par quatorze lecteurs entre octobre 2004 et novembre 2014. Peut-être davantage, l'un ou l'autre de ces abonnés à la médiathèque a peut-être qui un mari, qui une amie, qui un enfant, à qui il, ou elle, a conseillé et prêté le livre. Peut-être moins, si ce ou ces emprunteurs n'ont fait que l'emprunter, voire le feuilleter, ou le parcourir. Tout est possible.
Depuis sa mise en rayon, ce livre, si j'en juge par le nombre de dates de retour tamponnées sur la petite fiche A retourner, collée à la fin de l'ouvrage, a été au moins lu par quatorze lecteurs entre octobre 2004 et novembre 2014. Peut-être davantage, l'un ou l'autre de ces abonnés à la médiathèque a peut-être qui un mari, qui une amie, qui un enfant, à qui il, ou elle, a conseillé et prêté le livre. Peut-être moins, si ce ou ces emprunteurs n'ont fait que l'emprunter, voire le feuilleter, ou le parcourir. Tout est possible.
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